Prévention et réduction de la pollution lumineuse

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Rémi
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sept. 2021 21 21:10

Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par Rémi

Article paru hier dans le Monde.

Strasbourg, la ville qui travaille à réduire l’éclairage urbain pour rallumer ses étoiles
Par Quentin Peschard

Aux yeux du promeneur nocturne, rien ne semble différencier le centre-ville de Strasbourg de celui de n’importe quelle cité historique française. Des ruelles éclairées par des appliques, de nombreux bâtiments médiévaux, soulignés par des lumières rasantes, et des quais sur lesquels déambule une foule de promeneurs. Il faut un peu d’attention pour découvrir le secret de l’ambiance feutrée qui règne dans la vieille ville.

Devant le barrage Vauban, illuminé de douces lueurs colorées, Pierre Albrecht, du département éclairage public de la municipalité, passe aux aveux. « Regardez les toits, ils sont noirs ! Il y a quelques projecteurs pour mettre en avant le bâtiment exceptionnel de l’ENA, mais, au-dessus du niveau des lampadaires, il n’y a pas de lumière. »

Loin des éclairages éclatants de certaines métropoles, qui écrasent les reliefs dans un blanc ou un orange uniforme, la priorité est donnée aux points les plus cruciaux. « Ici, par exemple, on est sur la magistrale piétonne, explique Pierre Ozenne, adjoint à la maire de Strasbourg, chargé de la voirie et des espaces verts. On éclaire davantage pour attirer l’attention sur cet espace destiné à la marche. »

Le reste peut passer à la pénombre : autour de la cathédrale, sur l’une des rives d’un canal, dans les ruelles résidentielles ou sous le couvert des arbres, s’étalent de grandes taches de semi-obscurité. L’éclairage des bâtiments historiques, omniprésents dans la vieille ville, s’éteindra, lui, à partir de 1 heure du matin.

Place Saint-Thomas, deux amis qui partagent une bière sur un banc plongé dans l’ombre semblent apprécier cet éclairage parcimonieux. « Je trouve que c’est parfait, assure Laura. Quand les lumières de la façade de l’église s’éteindront, ce sera juste un peu moins beau. » Pourtant, la mairie tente d’utiliser cette reconfiguration de l’éclairage urbain comme une occasion de mettre en avant le patrimoine de la ville.

Au-dessus du quartier du Neudorf, dans le sud de la ville, la silhouette des grues de l’ancienne zone portuaire est ainsi dessinée par un ensemble de points lumineux dont les habitants peuvent contrôler la couleur par l’intermédiaire d’un site Internet. Une démarche artistique qui n’est visible que grâce au faible niveau de luminosité urbaine.

Derrière cette sobriété ne se cache pas qu’un souci d’esthétisme. Depuis 2010, la ville cherche à réduire sa consommation d’énergie, mais également son empreinte en matière de pollution lumineuse. Moins connue que ses cousines atmosphérique ou chimique, celle-ci se signale par le halo orangé ou blanchâtre qui flotte au-dessus des villes. Elle provoque des perturbations majeures dans le cycle de vie des animaux et des plantes, mais pourrait également affecter le rythme de sommeil et la santé mentale des êtres humains. En plus, bien sûr, de masquer à peu près totalement les étoiles et le ciel nocturne.
Lire aussi notre article de 2015 : L’éclairage grignote toujours plus la nuit

Il est d’autant plus urgent d’agir que la luminosité artificielle a connu une véritable explosion. « Entre 1970 et aujourd’hui, on a pratiquement doublé le nombre de points lumineux sur le territoire français », détaille Jean-Michel Lazou, correspondant en Alsace et en Moselle de l’Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes (ANPCEN). Son organisme, qui milite pour des actions de réduction de la pollution lumineuse, évoque également une hausse de 94 % de ce phénomène, due aux seuls éclairages urbains depuis vingt ans.

La mairie strasbourgeoise n’a pas attendu 2020 et l’élection de l’écologiste Jeanne Barseghian pour s’intéresser à ce problème. En 2015, une charte d’engagement volontaire est signée avec l’ANPCEN. La grande métamorphose passe par un peu de bricolage sur les lampadaires, quand ils ne sont pas tout simplement supprimés.

Les ampoules classiques, à la lumière trop blanche et trop dispersée, sont démontées au profit de « kits LED ». « C’est un plateau de LED qu’on encastre directement dans l’ancienne carcasse. Ça coûte bien moins cher que de remplacer tout le lampadaire », détaille Pierre Albrecht. L’intérieur des luminaires est ensuite recouvert d’un réflecteur puissant, qui achève de renvoyer au maximum les rayons au sol. Enfin, tous les nouveaux éclairages sont prévus pour diffuser une lumière chaude, à l’intensité modulable selon les heures de la nuit.

Ces efforts ont récemment porté leurs fruits. En mai, Strasbourg a été la première ville française de plus de 200 000 habitants à être récompensée d’une première étoile par l’ANPCEN au titre du label « Villes et villages étoilés ». « On espère en avoir d’autres, mais il y a encore du chemin à faire », reconnaît Pierre Ozenne.

Pour l’instant, la ville ne pratique l’extinction stricte de l’éclairage urbain que dans ses parcs, en dehors des horaires d’ouverture. « Au début, on ne disait rien, il n’y a pas eu de réactions. Maintenant, on l’assume, et c’est plutôt entré dans les mœurs. »

Mais, avant de prolonger la démarche, la mairie de Strasbourg devra d’abord rassurer sur l’impact d’une nuit plus noire. Synonyme de sécurité dans l’inconscient collectif, l’éclairage urbain ne se laisse pas réduire sans susciter certaines angoisses. Adeline et Moran, rencontrés près de la cathédrale, émettent quelques réserves. « Je préfère qu’il y ait de la lumière. Juste après, je dois passer par une petite rue, là, ça m’inquiète car elle est mal éclairée », illustre la jeune femme.

S’il n’existe pas d’étude permettant de faire le lien entre réduction de l’éclairage urbain et insécurité, le ressenti est bien présent et peut affecter concrètement la vie de certains publics, notamment les femmes. « Le traumatisme d’une agression ou d’un harcèlement se manifeste souvent par une peur de la rue noire et vide, détaille Ursula Le Menn, porte-parole à Strasbourg de l’association Osez le féminisme. Il ne faut pas sous-estimer ce sentiment d’insécurité, même s’il n’y a pas d’augmentation des agressions. Le risque, c’est de voir les femmes déserter l’espace urbain. »

Pour éviter cet effet pervers, la militante préconise un aménagement à la carte de l’éclairage en fonction des quartiers, tenant compte des faits d’agression et des paroles des habitantes.

Du côté de l’équipe municipale élue en 2020, on affirme prendre très au sérieux l’enjeu de la participation citoyenne. « On a mis en place les assemblées de quartier, c’est le lieu privilégié pour échanger sur ces nouvelles manières d’éclairer », explique Pierre Ozenne. Du chemin reste à parcourir pour qu’elles remplissent leur rôle de lieu d’information et de débat : sur l’ensemble des Strasbourgeois rencontrés, aucun n’avait entendu parler de la démarche de réduction de la pollution lumineuse.

La communication s’avère pourtant être un maillon essentiel. Dans l’eurométropole de Strasbourg, un exemple spectaculaire revient dans les conversations. La commune d’Illkirch-Graffenstaden, troisième plus grande ville de l’agglomération, qui pratiquait l’extinction de 80 % de ses lampadaires depuis 2016, est brutalement revenue à un éclairage réduit sur l’ensemble de la nuit en 2020. Une promesse de campagne du nouveau maire, Thibaud Philipps, qui affirme avoir reçu « beaucoup de retours négatifs » sur l’extinction totale, dus à « davantage de rôdeurs et d’incivilités ». « A ma connaissance, il n’y a jamais eu de bilan énergétique ou sécuritaire », assure pourtant Jean-Michel Lazou.

Un revers pour l’ANPCEN et l’Eurométropole, qui cache toutefois plusieurs succès. Comme à Holtzheim, où Pia Imbs, réélue en 2020, est parvenue à faire largement accepter par la population l’extinction en milieu de nuit, dès 2017. « Au bout de trois mois d’expérimentation, nous avons mené une grande enquête auprès de la population, qui nous a donné raison », explique la maire sans étiquette, également présidente de l’eurométropole.

Un exemple à suivre pour Strasbourg ? De l’aveu de Pierre Ozenne, un des prochains chantiers sera d’impliquer davantage les commerçants. Plusieurs vitrines restent en effet allumées toute la nuit, en contradiction avec un arrêté de 2018 prévoyant leur extinction entre 1 heure et 7 heures du matin – une réglementation méconnue des intéressés. « Ma vitrine est éclairée toute la nuit par une lumière plus faible qu’en journée, assure la responsable d’un magasin de chaussures pour hommes. J’imagine qu’un accord a été passé entre ma firme et la mairie. »

L’action strasbourgeoise semble en tout cas bien avoir impulsé un mouvement. La question de la pollution lumineuse est désormais prise très au sérieux par plusieurs grandes villes. En juin, Nancy a signé une charte ANPCEN du même type que celle adoptée par Strasbourg en 2015, tandis que Limoges confirmait l’extinction d’une partie de son éclairage public en milieu de nuit. Deux gestes qui signalent que l’âge des villes sans sommeil touche peut-être à sa fin.
Rémi

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Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par BBBenj

Merci Rémi, très intéressant.
Astramicalement,

Benjamin

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Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par Flo le Padawan

J'aime ! J'aime beaucoup ! Et j'espère que beaucoup prendront le même chemin.
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Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par Laurent Ferrero

Vu l'explosion du coût de l'énergie qui est en train de nous tomber dessus je ne doute pas que le problème du coût de l'éclairage public va se poser un peu de partout ... Les municipalités qui voudront faire quelques économies n'auront bientôt plus le choix !
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Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par Rémi

Voici un article paru dans Localtis qui montre que le chemin est long et difficile...

Pollution lumineuse : les collectivités avancent à tâtons

Publié le 4 novembre 2021
par Frédéric Fortin / MCM Presse pour Localtis

À l'occasion d'un atelier des Assises nationales de la biodiversité, plusieurs élus ont fait part de leur expérience – en cours – visant à lutter contre la pollution lumineuse, certaines collectivités ayant pour objectif final l'instauration de trame noire et de schéma directeur d’aménagement lumière. Un parcours complexe, loin d'être balisé, où les collectivités avancent encore à tâtons.

"Pollution lumineuse, les collectivités ne partent pas à l'aveugle !" Tel était l’intitulé résolument optimiste de l’un des ateliers organisés dans le cadre des onzièmes Assises nationales de la biodiversité. En écoutant les différents élus témoins, il semble toutefois que les collectivités avancent encore à tâtons dans l'institution de "trames noires" – ces "ensembles connectés de réservoirs de biodiversité et de corridors écologiques caractérisés par un niveau d’obscurité suffisant pour la biodiversité nocturne" – qui constituaient d'ailleurs le thème initial de l'atelier.

"C’est un sujet encore émergent. Nous n’avons pas encore beaucoup de retours d’expériences", confesse Tiphaine Nogues, de l’agence normande de la biodiversité – confirmant ainsi les conclusions du rapport de 2019 du Conseil général de l'environnement et du développement durable (voir notre article). Et ce en dépit des enjeux, dont elle rappelle la variété et l'importance : "énergétiques, économiques (l'éclairage public représente 41% des consommations d’électricité des collectivités territoriales), sociétaux (impact sur le sommeil, fait qu'un "tiers de l'humanité ne voit plus la voie lactée") et, évidemment, environnementaux (30% des vertébrés et 65% des invertébrés vivent la nuit)".

"La lutte contre la pollution lumineuse suppose une sensibilisation des élus et des services", explique Marie Genet, conseillère municipale de Castanet-Tolosan, "commune péri-urbaine de la banlieue toulousaine", qui s'est lancée tout récemment dans la bataille. Si la notion elle-même commence à être bien cernée en théorie – "la présence nocturne anormale ou gênante de lumière artificielle et ses conséquences sur les écosystèmes", rappelle Tiphaine Nogues –, son appréhension très concrète reste malaisée. "On ne regarde jamais l'éclairage lui-même", rappelle Laurent Bitaud, maire délégué de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou, fruit de l'union de 15 communes du Maine-et-Loire s'étendant sur 270 km2 (105 km2 pour Paris…), qui mène également ce combat, notamment au sein de la communauté de communes de Baugeois-Vallée.

Les arrêtés du 27 décembre 2018 ont, par la force des choses, remis le sujet – dont l’État tardait lui-même à se saisir – sur la table. Mais la crise de Covid a sans doute contribué davantage encore à l’éveil des consciences, mettant en lumière l’intérêt des extinctions nocturnes pendant les périodes de confinement ou de couvre-feu. Non sans susciter néanmoins le débat ("la ville nocturne n’est pas si vide que cela", rappelait notamment l'Association française de l'éclairage – voir notre article). À écouter les intervenants, il semble que la réalisation d'inventaire biodiversité a également beaucoup joué.

Une condition nécessaire, mais non suffisante. Lionella Gallard, maire de la commune de Cheverny (Loir-et-Cher), qui a obtenu récemment sa "troisième étoile" du label "Villes et villages étoilés", insiste sur l'indispensable sensibilisation des habitants et de la concertation. Dans sa commune, elle a décidé de travailler sur l'accueil des rapaces nocturnes : atelier dissection auprès des scolaires, sorties crépusculaires, atelier intergénérationnel ("1 grand, 1 petit") de construction de nichoirs. Marie Genet ou Laurent Bitaud ne la démentent pas, tous deux considérant les "balades nocturnes" comme l'outil de sensibilisation – à la fois à la vie nocturne et à l'impact de l'éclairage – le plus efficace. Pour Marie Genet, c'est aussi un outil de réassurance, notamment "pour lever les peurs de la population liées à l'insécurité que le dispositif pourrait favoriser". L'élue voit dans ce sentiment un frein à ne pas sous-estimer, et difficile à dépasser. Aussi souligne-t-elle l'importance d'associer les services de police et de gendarmerie. "Ils estiment que l'impact de l'absence d'éclairage sur les cambriolages est plutôt nul, puisque ces derniers se déroulent plutôt dans la journée. Ils peuvent en revanche nous demander de ne pas couper l'éclairage de certains quartiers à certaines périodes. À l'inverse, ils relèvent que l'éclairage peut aussi favoriser des rassemblements", précise l'élue. Rien n'est ni tout noir, ni tout blanc…

Marie Genet souligne également que la "projection des économies réalisées avec les coupures est un argument de plus auprès des contribuables". Reste que la rénovation de l'éclairage public, préalable généralement nécessaire compte tenu d'un parc national "vieillissant et énergivore" – dixit la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (voir notre article) –, est d'abord source de coûts. Environ 45.000 euros, précise Lionella Gallard pour sa commune de "956 habitants, dont les deux tiers du territoire sont occupés par la forêt". "Mais les économies réalisées permettent d’amortir rapidement les coûts", rassure-t-elle. D'autant que sa commune a bénéficié de subventions "à hauteur de 80%" du total, provenant du syndicat intercommunal de distribution d'énergie et de la région.

Marie Genet fait d'ailleurs valoir "la nécessité d'inscrire cette politique dans la durée. Il faut une vision à long terme". Sa commune entend ainsi bâtir à terme un schéma directeur d’aménagement lumière, processus de longue haleine et coûteux. Laurent Bitaud estime le coût du seul état des lieux – "une étude d'un peu plus d'un an" – à plus de 30.000 euros. Est également affirmé le besoin d'être accompagné : bureaux d'étude, assistance dans le cadre de l'initiative "Territoires engagés pour la nature", etc. Le guide "trame noire" récemment publié par l'OFB pourra aussi être utilement consulté.

Pour les communes qui ne sont pas encore prêtes à faire le grand saut, Tiphaine Nogues dresse la liste des actions que les maires peuvent – doivent – déjà mettre en œuvre : "D'abord, appliquer et faire appliquer la réglementation ; prendre en compte la biodiversité lors de la rénovation de l'éclairage public ; procéder à des extinctions en cœur de nuit dès que possible ; mettre en place des solutions alternatives pour les périodes de conflits d’usages (crépuscule et aube, les deux pics d’activité des êtres vivants) ; limiter l'éclairage – ou le supprimer – lors de certaines périodes particulières, en fonction des saisons, des activités humaines ou de la biodiversité (migrations par exemple) ; passer à une gestion différenciée de son éclairage ; identifier les continuités écologiques de son territoire et restaurer une trame noire". Et, insiste-t-elle encore, "sensibiliser".
Rémi

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nov. 2021 11 12:39

Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par BBBenj

Merci Rémi, très intéressant.
Astramicalement,

Benjamin

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ClaudeVenelles
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déc. 2021 27 14:15

Re: Prévention et réduction de la pollution lumineuse

Message par ClaudeVenelles

Bonjour,
Je viens d'écrire un nouveau post sur ce sujet dans la section "touche de vert". Désolé pour le doublon. Je ne l'avais pas vu.